Bouillons d’os (bone broth) : recettes + bienfaits sur notre santé

J’ai découvert le bouillon d’os – « bone broth » en anglais – en 2013.
Depuis près de deux décennies, cette préparation aux nombreux bienfaits a la côte dans nombreux pays anglophones (Angleterre, Australie, États-Unis, Allemagne). D’ailleurs, ils sont tellement valorisés que certaines marques ont vu le jour : elles fabriquent et distribuent leurs bouillons artisanaux : on les retrouve au rayon frais de certains magasins, non pasteurisés (à consommer sous 2 à 4 jours).

Lorsque je les ai découvert, j’étais persuadée qu’ils arriveraient bientôt en France. Et pourtant, près d’une décennie plus tard, on commence tout juste à en parler…
D’ailleurs, plutôt que de valoriser le produit, les marques françaises ont opté pour la mise en avant d’un de ses extraits : le collagène.
Beaucoup de marques de beauté vente du collagène à base de poudre, sous forme de complément beauté.
La majorité sont extraits d’ingrédients marins (écailles, poisson, etc.) et sont faiblement assimilables. Outre la provenance et l’assimilation du collagène, on perd également l’intérêt du « totum ».

Privilégions donc les bouillons (maison ou de marques) plutôt que les extraits
Venez, je vous dis tout à leur sujet !

 


Bouillons d’os

Bienfaits et limites

Bienfaits

Le bouillon d’os est ma « super boisson » préférée parmi les nombreuses présentes dans mon 6e livre « Drinks to glow ». C’est sans aucun doute la plus puissante, riche et bénéfique de ce livre, tout particulièrement sur le long terme !

C’est une préparation qui était très utilisée et consommée par nos ancêtres depuis des millénaires.
Au cours de ces dernières décennies, cette recette avait perdu de sa superbe : sans doute car elle est aux antipodes du rythme effrénée de notre société (elle demande beaucoup de temps) et peut aller à l’encontre d’un choix de consommer moins de protéines animales (fréquent par les adeptes du mieux manger).
Assez ironiquement, sa teneur nutritionnelle et ses bienfaits sont une réelle panacée pour beaucoup de maux de notre société :
– problèmes d’inflammation
(tous : cutanés, articulaires, musculaires, etc.)
– problèmes digestifs chroniques
– immunité faible
– fatigue chronique
– acidification de l’organisme
,
– et bien d’autres !

Nos ancêtres en consommaient pour ne perdre aucune partie des animaux chassés : les os, la carcasse, les ligaments étaient bouillis plusieurs heures afin de récolter le maximum de nutriments nichés à l’intérieur.
Au fil de la cuisson, ces parties très dures s’assouplissent et libèrent le collagène : élément puissant pour protéger, renforcer et cicatriser la paroi intestinale, siège de notre microbiote. 
Le bouillon d’os est également idéal pour booster notre système immunitaire et le soutenir lorsqu’il doit combattre des rhumes, bronchites ou autres maladies ORL.
Le bouillon devient également très riche en minéraux et protéines hautement assimilables : comme ils proviennent des parties animales, notre organisme peut les utiliser rapidement et n’a pas besoin de les synthétiser en une forme utilisable (contrairement aux protéines végétales qui doivent subir une légère transformation).

 

Pour qui ?

Convenant à tous les profils et conditions physiques, ils sont un excellent alliés de notre santé et beauté : leur haute teneur en collagène est à la fois bénéfique pour nos intestins (paroi et flore intestinale), notre peau et nos articulations.
Ils soutiennent activement nos systèmes immunitaires, aident en cas d’inflammation, de déséquilibre acido-basique, etc.

Même si les bouillons d’os peuvent être consommés par tous, ils s’adressent plus particulièrement aux personnes :
– en convalescence
– fatiguées
– dénutries
– souffrant de problèmes digestifs chroniques (SIBO, SII, candida, RCH, maladie de Crohn, diarrhée chronique)
– endométriose
– SOPK
– maladie de Lyme
– problèmes articulaires chroniques

Cela m’arrive d’en conseiller une cure dans mes accompagnements en Naturopathie, selon certains cas (j’adapte alors la posologie et la propose aux personnes dont le rythme de vie le leur permet).

 

Limites, contre-indications, prudences

  • Les personnes intolérantes à certains aliments ou groupe d’aliments (comme les FODMAPs) : si l’on souffre de ballonnements et autres troubles digestifs chroniques, il est possible que nous soyons concernés. Attention alors à la composition du bouillon (qu’il soit fait maison ou acheté tout prêt) : en plus des parties animales choisies, on veillera à ne pas utiliser : l’ail, l’oignon, le céleri, le chou, les échalotes et les poireaux.
  • Les personnes atteintes d’hypercholestérolémie devraient faire le point avec leur médecin ou thérapeute avant de voir s’ils peuvent en prendre et adapter la posologie.
  • Les personnes intolérantes à l’histamine et devant éviter les aliments en contenant en grande quantité.

 


 

Où en trouver

Depuis récemment, en France, on trouve quelques marques en commercialisant :

Atelier NuBio
Jolly mama
Jarmino

Attention, toutes ces références (à l’heure où j’écris cet article) contiennent des FODMAPs. Comme expliqué précédemment, si on est intolérant, il faudra éviter de les consommer et privilégier le « fait maison ».
L’intérêt économique s’ajoute à celui de la santé : pour le moment, le prix de vente des bouillons est très élevé alors que ces préparations, si elles sont longues à faire, coûtent très peu chères en matières premières.

 


 

Réaliser son bouillon d’os maison

Matériel

Nous aurons besoin d’une grande casserole à fond épais (type Le Creuset) d’une contenance de 4 à 6 litres minimum. Ce matériel permet une cuisson homogène et douce pendant les heures de cuisson du bouillon.

Ingrédients

Pour réaliser un bouillon d’os, il nous faut :

 

 

 

Optionnel ou indispensable

Exemple

Eau

Indispensable

Eau filtrée ou minérale, de préférence.

Boeuf, volaille, porc, veau, agneau, chevreuil

Indispensable

La partie la plus intéressante est l’os à moelle du boeuf.
On peut utiliser d’autres parties : une carcasse de poulet, des pieds de porc ou sabot de chevreuil, bec de volaille

Légume(s), épice(s) et aromate(s)

Optionnel

Ils apportent du goût et permettent d’aromatiser notre bouillon.

  • céleri, fenouil, chou, carottes, ail, oignon
  • sauge, thym, origan, laurier
  • clou de girofle, anis étoilé, etc.

 

➽ Opter pour des morceaux de boeuf ou porc (os à moëlle, pied de porc…) permet d’obtenir des bouillons plus concentrés en collagène (comparé aux volailles, poissons, etc.)

 

Préparation, les étapes

Comme la préparation est assez longue, on peut le préparer en grande quantité durant notre week-end ou pendant des vacances, et en congeler une partie.

Dans notre grande casserole à fond épais, nous versons les parties animales choisies : os (à moelle ou non), articulations, bec et autres tissus conjonctifs.
On ajoute les légumes, herbes, épices et on recouvre d’eau.
On allume le feu au maximum. Aux premiers frémissants, on diminue au minimum, on couvre et on laisse mijoter d’environ 12 heures (oui, c’est long). Durant ces longues heures, les parties pleine de collagène vont venir se détacher et se « fondre » dans le bouillon. Évidemment, le bouillon va réduire petit à petit (d’où l’intérêt d’avoir un grand faitout).
Une fois prêt, on retire les restants de légumes, aromates, etc. 

 

Variantes

On peut s’amuser et changer les aromates, épices ou légumes en fonction de nos goûts ! Tant que les parties de cartilage sont là, le reste jouera sur le goût mais ne changera pas les bienfaits de la recette.
Attention aux intolérances aux FODMAPs : on éviter l’ail, l’oignon, le céleri, les échalotes et les choux. On privilégiera le gingembre, les carottes et les herbes aromatiques.

 

 


 

Conservation

Le bouillon peut se conserver 4-6 jours au réfrigérateur et même être congelé (on peut utiliser des récipients à cet usage qu’on trouve en supermarché.

Consommation

(quantité, fréquence, etc.)

La fréquence idéale à laquelle consommer notre bouillon dépend du bienfait recherché :

  • si c’est uniquement pour la beauté (peau, ongles, cheveux) et/ou pour les bienfaits sur notre santé d’ordre préventifs 2 à 4 bols ou mugs par semaine, d’une contenance de 300 à 400ml
  • si c’est pour soutenir notre organisme en cas de troubles (SII, Crohn, SIBO, Lyme, endométriose, SOPK, etc.), en parallèle d’un traitement médicamenteux + suivi médical 1 bol ou mug par jour d’une contenance de 300 à 400ml

 

 


 

2 recettes
(exemple)

Ces deux recettes (comme toutes les recettes de mon blog) sont téléchargeables gratuitement en PDF en cliquant sur la petite icône correspondante, dans le coin supérieure gauche (visible ici).

Bouillon de boeuf

Comme nous l’avons vu : les bouillons d’os sont les boissons les plus puissantes de cet ouvrage !

Véritable panacée nutritionnelle, ils sont autant bénéfique pour notre peau, nos cheveux et ongles, que nos systèmes immunitaire et digestif.

Ingrédients

  • 1 os à moelle
  • thym
  • 10 feuilles de laurier
  • 5 clous de girofle

Préparation

Dans notre grande casserole spéciale, nous verse tous les ingrédients.
On recouvre d’eau (environ 3 litres).
On allume le feu au maximum. Aux premiers frémissants, on diminue au minimum, on couvre et on laisse mijoter d’environ 12 heures.

 

Bouillon de poule

Et voici une variante au bouillon de poule ! Moins riche en collagène que le boeuf, il reste très intéressant autant pour notre beauté que notre santé.

Ingrédients

  • 1 carcasse de poulet (avec pattes, tête, etc.)
  • 1 bouquet garni
  • 4 gousses d’ail
  • 1 carotte coupée en morceaux

Préparation

Dans notre grande casserole spéciale, nous verse tous les ingrédients.
On recouvre d’eau (environ 3 litres).
On allume le feu au maximum. Aux premiers frémissants, on diminue au minimum, on couvre et on laisse mijoter d’environ 9-10 heures.

✤ ✤ ✤

D’autres chouettes articles à (re)découvrir :

 Tous mes articles « Naturopathie » 
 Tous mes Guides 
 Les 10 clés d’une alimentation saine et gourmande // Naturopathie 
 Bio, équilibré, sain, végéta*ien : synonymes ? 

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25 commentaires

  1. Vic

    Très intéressant, merci pour cet article précis ! Du coup j’imagine qu’on peut aussi utiliser notre bouillon en base de ramen par exemple ?

    mercredi 24, janvier 2024 à 18h22
    1. Mély

      @ Vic : Merci ♥ Exactement ! C’est d’ailleurs ce qu’on a fait à la maison (mon mari est fan de ramens et m’a fait découvrir ce plat) 😊 D’ailleurs, la qualité du bouillon fait (à mon sens), toute la différence d’un bon ramen (des plus médiocres) !

      mercredi 24, janvier 2024 à 19h03
  2. Anne Sophie

    Merci bcp pour cet article et votre travail en général 🙏✨️
    Je prends rarement le temps de commenter vos écrits et pourtant, ils me sont très souvent d un grand secours !
    Nous parlions de ce bouillon d os avec ma mère, qui a la chance de se chauffer au feu de bois ( poêle), elle pourra donc le laisser mijoter tranquillement.
    Merci également pour les précisions concernant les Fodmaps 😉

    mercredi 24, janvier 2024 à 19h29
    1. Mély

      @ Anne-Sophie : Merci d’être là pour faire vivre mes créations 🙏🏻 et d’avoir pris le temps de m’écrire ce petit mot 💌
      Je me souviens de ma grand-mère et de son poêle à bois : elle laissait tout mijoter dedans (elle préparait sa potée le matin, pour le soir) 🥣
      C’est vraiment parfait le poêle à bois pour ça 😊
      Pour les FODMAPs : ça dépend vraiment de si on est intolérant ou non… et de notre niveau d’inflammation (types de troubles, fréquence et intensité). Vu que l’on utilise en général peu d’ail et d’oignon pour une grande quantité de bouillon, ça peut passer pour certaines personnes. Mais je préfère le préciser car j’ai l’habitude d’accompagner des gens à de fort niveau d’inflammation et ce genre de détail peut faire la différence 💫

      mercredi 24, janvier 2024 à 20h39
  3. Jessica Malanho

    Génial y a plus qu’à aller acheter les ingrédients, merci j’adore tes articles.

    mercredi 24, janvier 2024 à 21h01
    1. Mély

      @ Jessica : Merci beaucoup Jessica pour ton soutien et ton petit mot ♡

      jeudi 25, janvier 2024 à 8h28
  4. Kathleen

    Bonsoir ! C’est « drôle » car j’en ai envie depuis quelques jours, j’y pense régulièrement. Alors que cela fait une éternité que je n’en ai pas vu ou mangé… et là cet article ahahah ! J’adore les clins d’œil de la vie ✨️😁 Merci pour toutes ces précieuses informations en toute simplicité, comme toujours 🙏🏼

    jeudi 25, janvier 2024 à 0h28
    1. Mély

      @ Kathleen : Quel joli hasard ✨ Un signe (peut-être) te répondre aux envies et signaux que ton corps te donne ? 💚

      jeudi 25, janvier 2024 à 8h30
  5. Euheug

    Très intéressant comme toujours
    Merci Mélanie 🙏

    jeudi 25, janvier 2024 à 10h29
    1. Mély

      @ Eugénie : Merci beaucoup Eugénie, d’être toujours au rendez-vous avec un mot doux 💛

      jeudi 25, janvier 2024 à 10h29
  6. Amandine

    Bonjour, merci beaucoup pour cet article. Je suis d’accord sur le fait qu’il est plus judicieux de consommer du bouillon plutôt que des compléments alimentaires à base de collagène. Seul petit bémol selon moi c’est que, parmi les contre-indications, il conviendrait d’ajouter les personnes intolérantes à l’histamine. Les bouillons d’os en sont très riches. Ayant moi-même découvert l’intérêt de consommer des bouillons d’os il y a 1 an environ, j’ai réalisé qu’en consommant du bouillon d’os à moelle de bœuf, mes troubles intestinaux, ORL (type rhume des foins) et cutanés (eczéma atopique) étaient décuplés dans les heures qui suivaient. Cela m’a permis d’être diagnostiquée intolérante à l’histamine, car je ne produis pas assez d’enzyme DAO (qui dégrade l’histamine). En revanche je tolère mieux les bouillons de poulet ou de viande. Encore merci pour cet article et belle journée

    jeudi 25, janvier 2024 à 10h53
    1. Mély

      @ Amandine : Bonjour ✩
      Merci beaucoup, j’avais oublié de le mentionner ! J’ai édité mon article et l’ai rajouté 😊
      Merci et désolée pour cet oubli ♥

      jeudi 25, janvier 2024 à 11h14
  7. emmi

    Bonjour, et merci pour cet article et la recette. Penses-tu qu’il soit possible de stériliser des conserves de ce bouillon lorsqu’on en fait en grande quantité? Je n’ai qu’un petit congélateur et j’essaie d’éviter de l’utiliser au maximum. Merci!

    jeudi 25, janvier 2024 à 12h43
    1. Mély

      @ Emmi : Bonjour ✩
      Sauf erreur de ma part (je ne suis pas habituée à stériliser des bocaux d’aliments), il faut atteindre une certaine température (élevée) ?
      Or, la température du bouillon lors de sa ne doit pas être très élevée (ça doit à peine mijoter – pas bouillir).
      Je dirai que non… mais tu peux essayer et revenir ici nous dire comment ça s’est passé pour que ça serve à d’autres ♡

      vendredi 26, janvier 2024 à 9h06
  8. Sinaelle-Sarah

    Bonjour Mély,
    Merci pour cet article et tout tes partages ici ou sur Instagram 🙏
    Cela fait un moment que j’entends parler des bienfaits du bouillon d’os mais je bloc pour en préparer/consommer…
    Que conseils tu dans ces cas là afin d’avoir un apport suffisant en collagène (et autre) ?
    D’ailleurs, dans l’alimentation Ayurvédique, commence cela se pass-t-il ?

    jeudi 25, janvier 2024 à 21h14
    1. Mély

      @ Sinaëlle : Bonjour ❀
      Pour l’Ayurvéda / collagène : je ne suis pas la personne la plus adéquate pour répondre (je n’ai fait qu’un an de formation de « bases » à l’Ayurvéda et ne suis pas thérapeute Ayurvédique (8 ans). Il faudrait demander à un thérapeute pour avoir une réponse précise.
      D’après mes recherches (notamment par cet article – clic – mais il existe beaucoup d’autres ressources sur internet en tapant « how Ayurveda collagen »).
      Si je devais résumer ce que j’ai compris (et on retrouve cela dans la vision en Naturopathie) : il est erroné de demander « Où l’Ayurvéda trouve son collagène », dans le sens que cette question requiert une réponse (ou plusieurs) ciblées : un aliment / une recette ou un groupe d’aliments.
      Or, l’Ayurvéda, comme la Naturopathie, s’appuie sur le principe d’ « holisme » et d’ « hygiènisme ». Principes qui requièrent un changement de vision… et donc de réponse. Dans le sens où il n’y a pas UNE recette, UN aliment ou UN groupe d’aliment. C’est un mode de vie, de s’alimenter, de bouger (yoga) qui est différent et qui apporte (par plein d’autres voix) les bienfaits du collagène.
      Dans notre monde occidentale, l’évolution de l’alimentation (et de nos valeurs) ont apporté énormément de changements : la disparition de consommation de certaines parties (toutes celles utilisées pour faire des bouillons d’os) n’en est qu’une petite partie (je suis sûre que je ne t’apprends rien). Raffinage, industrialisation, pesticides et autres traitements, etc. C’est le tout qui joue (très certainement) un rôle sur l’évolution de certaines pathologies.
      Aux Etats-Unis, Canada, pays anglophones, germaniques et France (et bien d’autres), on a trouvé UNE « solution » en recommençant à consommer des bouillons (ou, les marques, en commercialisant du collagène en poudre).
      Le collagène est un des nombreux vagues de mode qu’il y a eu avec beaucoup d’autres (golden latte, spiruline, moringa, huile de coco…).
      A chaque fois, les gens ont tendance à oublier le côté « holistique » de l’alimentation (et de notre hygiène de vie).
      Rien ne sera résolu avec UN seul changement / recette / aliment.

      samedi 27, janvier 2024 à 9h36
  9. Rose10

    Merci pour cet article ! Je me demandais justement quoi penser de cette « mode » des compléments de collagène, qui sont quand même vendus assez cher. Contente d’avoir ton avis sur le sujet :)

    vendredi 26, janvier 2024 à 19h37
    1. Mély

      @ Rose : Merci beaucoup ♡ Contente que mon article te soit utile ! Merci de l’avoir exprimé, ça me fait toujours plaisir d’avoir des retours ✩

      samedi 27, janvier 2024 à 9h37
  10. Emma

    Bonjour Mély,
    Merci pour ton fabuleux article et ces conseils précieux. Je te lis sans n’avoir encore jamais commenté… là, après un burn-out, ton sujet répond particulièrement à mes préoccupations actuelles.
    Je me demandais si tu prenais des précautions particulières pour choisir les morceaux animaux : bio, élevage que tu connais, boucherie, ou supermarché ?
    Pour la cuisson, est-ce qu’une cocotte type cocotte minute (sans utiliser la vapeur) peut remplacer un Le Creuset ?
    Bon week-end et merci encore 💖

    samedi 27, janvier 2024 à 9h54
    1. Mély

      @ Emma : Merci d’avoir pris le temps de commenter ♡
      C’est très précieux pour moi ✩
      Si tu as fait un burn-our récemment (et si tu ne l’as pas encore) : mon livre Énergie devrait t’aider aussi ♡
      – Pour les morceaux : oui, idéalement, éviter le supermarché et faire attention (comme pour les fruits et légumes) à la provenance. Élevage que l’on connait ou autre. De notre côté, on a une boucherie qui a ouvert près de chez nous (provenance transparente, proche de la région parisienne), qui sert notamment pour un restaurant 3 étoiles.
      – Pour le matériel : je ne suis pas habituée aux cocottes-minutes. Mais il me semble qu’il n’y a pas de fond épais ? Idéalement, il faut que ce soit le cas (fond épais pour cuisson douce et homogène). Le marché d’occasion permet de trouver des pépites à prix moindre, si besoin.

      samedi 27, janvier 2024 à 10h14
  11. Emma

    Merci pour tes conseils, Mély !
    Je vais chercher en occasion, c’est une bonne idée !
    Je suis en train de lire ton livre Energie 🙂 Il est très pédagogique. Et on s’y sent comme dans un plaid réconfortant, twisté par ton étincelle de joie, d’amour et de créativité qui font vraiment du bien ❤

    samedi 27, janvier 2024 à 13h29
  12. Sinaelle-Sarah

    Merci Mély pour tes réponses et le lien vers le site Forest Essentials 🙏✨
    Ce que tu exprimes résonne tout à fait en moi.
    Il m’est parfois ardu de danser entre approche holistique et connaissances en micro-nutrition 💃
    Un équilibre en perpétuelle évolution et tout à fait passionnant !

    Plein de belles choses pour toi 🧚‍♀️

    samedi 27, janvier 2024 à 13h43
  13. Trinity

    Bonjour,
    Je prépare régulièrement moi aussi des bouillons d’os, de bœuf le plus souvent. J’adore ça et ça me sert de base à moi aussi pour les ramen… par contre je ne me résous à laisser la gamelle sur le feu 12h durant, je le laisse mijoter 1h ou 2h et je le mets en marmite norvégienne. Je le reporte à ébullition matin et soir avant de le remettre dans la marmite norvégienne pendant 48h (il est encore trop chaud pour être bu directement après 12h en marmite norvegienne). Ensuite je le refroidis, le dégraisse et je congèle des bocaux.
    Pensez-vous qu’en procédant de la sorte le bouillon récupère suffisamment de nutriments intéressants des os ?
    Je ne commente pas souvent, mais je me réfère souvent à vos articles, d’ailleurs ce soir nous avons mangé une chatchouka en suivant votre recette qui est devenu un classique de cet hiver ! Alors merci pour votre travail et ce si généreux partage…

    mardi 30, janvier 2024 à 20h54
    1. Mély

      @ Trinity : Merci beaucoup, c’est très gentil ♡
      On a refait la chatchouka à la maison en fin de semaine : ici aussi, c’est une classique ✩
      Je découvre la marmite norvégienne grâce à vous (j’ai fait des recherches sur google du coup).
      En me basant sur vos infos (mijoter 1-2 heures + puis 48 heures en mamite norvégienne + le fait que ce soit trop chaud pour être consommé), je dirai que oui !

      mercredi 31, janvier 2024 à 11h41
  14. LIVIA

    coucou

    ne pas oublier de mettre le vinaigre de cidre dans la carcasse avant de mettre tout ça a mijoter car cela aide a extraire les bons elements …MERCI pour ce delicieux article !

    lundi 5, février 2024 à 15h34

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